C'est ainsi en poésie. Le monde vous parle... Il pénètre jusque dans les mots.
Parfois comme un parfum de fleurs charmant et délicat.
Parfois tel un torrent violent et dévastateur.
Une chose est sûre. L'exercice parvient à bouleverser, interpeller, renverser.
Tout notre être se met à vibrer de choses étranges, que l'on croît parfois perdues, et que l'on appelle aujourd'hui - avec cette petite pointe de dédain qui voudrait insinuer le "suranné"- le sentiment ou l'émotion.
La poésie serait-elle à ce point magique qu'elle parviendrait à nous relier à nous-mêmes ?
La question reste en suspens, remise entre vos mains et peut-être éternellement sans réponse...
Toujours est-il qu à son palmarès, elle entraîne cette plaisante habitude d'égrener le partage...
Voici donc quelques poèmes de Patrick Edgard, si généreusement offerts.
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Barbara, vous avez dit Barbara?... La dame appréciera les trésors d'inspiration.
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Je me permets ici de prendre sa place, mais je peux ne m'empêcher de l'entendre déjà scander pour accompagner ce texte:
-À bon entendeur... Salut !
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Sensibilité versus engagement?... Non.
La poésie est le principe même de la dissolution des genres.
La moquerie à tous les styles académiques, conceptuellement "correct".
L'impossibilité du choix entre le bien écrire et l'émotion.
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